Apprendre à Choisir

« Je sais pas quoi faire… Y’a rien qui me plaît »

« Je ne suis pas assez bon en maths et j’aime pas le français, j’ai pas le choix »

« Chaque fois qu’il y a un truc qui me plaît, je n’ai pas le bon bac »

« J’attends de savoir pour quoi je suis fait »

 

60% des jeunes estiment subir leur orientation.

Assis devant notre menu au restaurant, nous aussi nous avons des contraintes ; de prix, de goûts, de santé. Ne pas choisir le plat principal qui nous faisait rêver, c’est frustrant.

Mais ne pas choisir une filière que l’on aime, c’est-à-dire vivre un temps plein hebdomadaire que l’on n’aime pas, ça, c’est tout simplement dangereux !

 

Être encombré par la liberté de choix et, quoi qu’on en dise, par le large éventail des possibilités de parcours professionnels, c’est humain. Il y a un siècle, selon le milieu social ou géographique, la majorité des individus n’avait qu’à se conformer, suivre.

 

Le « projet professionnel » version 2009 est facilement assimilé à la construction rationnelle qui assemble la connaissance de soi, et les informations sur les métiers. L’incertitude est intolérable, chaque problème doit trouver une solution immédiate. Vite, des outils pour choisir une filière !

 

Les jeunes (et leurs parents) sont d’autant plus désorientés que les activités professionnelles sont devenues abstraites voire invisibles. Ils limitent leurs 1ers vœux aux métiers les plus familiers.

 

Or, l’orientation est avant tout une aventure qui mobilise toute la personne. Un horizon. Le projet professionnel est en réalité un projet personnel. Il s’élabore à partir de toute notre histoire individuelle et familiale. Il est un mouvement qui va s’étendre dans le temps sans que nous le contrôlions en tous points.

 

Trajectoires propose un accompagnement sous forme de rencontres en tête-tête (ou à plusieurs pour la préparation aux entretiens)

Selon la demande du jeune, il est plus ou moins poussé :

« Besoin d’un simple coup de pouce » :

Ä Entretien ponctuel

 

« J’ai des idées mais je ne sais pas ce qu’il faut choisir » :

Ä 3 rencontres (faire le point, partir à l’information, cerner ses mécanismes) et un suivi régulier par mail ou téléphone

 

« Je suis perdu, je n’ai pas d’idées, il n’y a rien pour moi » :

Ä 6 rencontres, démarches conjointes, suivi mail et téléphone (pour mieux se comprendre, mieux se situer dans son environnement, partir en exploration et faire des rencontres, forger son for intérieur sur ce qui aura été découvert.)

 

« Je dois passer des entretiens » :

Ä 2 rencontres (apprentissage, entraînement)

 
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